FO Astek appelle les salariés du groupe ASTEK à la grève pour défendre les retraites.
Lien : Appel à la grève et à manifester le 5 décembre 2019 (pdf, 1 page, 150 Ko)
FO Astek appelle les salariés du groupe ASTEK à la grève pour défendre les retraites.
Lien : Appel à la grève et à manifester le 5 décembre 2019 (pdf, 1 page, 150 Ko)
Depuis la mise en place de l’accord Télétravail (mars 2019), la direction d’ASTEK refuse d’appliquer l’article 1.07 sur le paiement d’une indemnité forfaitaire journalière aux salariés réalisant du télétravail dans le cadre de l’accord (2,5 € par jour de télétravail).
Plusieurs salariés ont remonté l’information auprès de leurs représentants FO qui n’ont eu de cesse de rappeler à la direction d’ASTEK les règles prévues par l’URSSAF afin de permettre le paiement de l’indemnité compensatrice pour les frais professionnels engagés.
Pour en savoir un peu plus, téléchargez le communiqué de la section FO Astek intitulé » Fiche Indemnité Télétravail » (pdf, 1 page, 150 Ko).
Afin de favoriser grandement l’amélioration des conditions de travail des salariés et ainsi éviter un turn-over de 40 à 50%, FO a proposé une trame de projet d’accord sur le droit d’expression des salariés.
Cette proposition a été immédiatement balayée d’un revers de la main par la Direction des Ressources Humaines. Attitude très surprenante quand on sait que l’entreprise cherche à obtenir depuis plus deux ans le label « Great Place To Work ».
Par deux avis, hautement médiatisés, la Cour de cassation a déclaré le plafonnement des indemnités prud’homales conforme (en son principe) à nos engagements européens et internationaux (Cass. avis, Form. Plé., 17-7-19, n°15012 et 15013, P+B+R+I).
Pour autant, Force Ouvrière a appelé à garder espoir et continuer le combat dans la mesure où la portée conférée à ces avis était à nuancer.
En effet, l’examen de la conventionnalité du barème opéré par la Cour de cassation a été effectué uniquement « in abstracto » (de manière abstraite) et non en se confrontant à une situation personnellement subie par un salarié.
C’est dans ces circonstances que la cour d’appel de Reims a été amenée à se prononcer sur la conventionnalité du barème des indemnités prud’homales (CA Reims, 25-9-19, n° RG 19/00003). Cet appel porte sur le jugement très médiatisé rendu par le conseil de prud’hommes de Troyes en décembre 2018.
Il s’agit, à notre connaissance, du premier contentieux sur l’inconventionnalité du barème porté devant une cour d’appel. Bien évidemment, Force Ouvrière n’a pas manqué de se porter partie intervenante dans cette affaire.
Contrairement aux avis rendus par la Cour de cassation, la cour d’appel de Reims a reconnu un effet direct horizontal (entre particuliers), non seulement à l’article 10 de la Convention 158 de l’OIT mais également de l’article 24 de la Charte sociale européenne.
Lire l’article complet sur le site Force Ouvrière
L’objectif de cette négociation est de parvenir à une définition générale des salariés cadres quel que soit leur secteur d’activité. Pour FO, cette définition interprofessionnelle des cadres est un enjeu essentiel. Elle doit conforter le rôle et la place de ces salariés dans l’entreprise alors que dans le même temps la croissance numérique de cette catégorie contribue à banaliser leur identité professionnelle.
De moins en moins associé à la réussite, le rôle des cadres se résume le plus souvent à un outil de flexibilité au sein de l’entreprise. Avec, pour corollaire, une intensification du travail, une rémunération minorée et une perte de reconnaissance.
Pour répondre à ces enjeux FO-Cadres a recueilli les attentes des cadres via une consultation publique. La forte participation a permis de parvenir à un constat général : le statut cadre, tel que nous le connaissons aujourd’hui, n’est plus adapté aux évolutions du monde du travail et aux aspirations des cadres. Il doit évoluer pour que l’engage- ment professionnel des cadres soit synon- yme de reconnaissance et de protection collective.
Pour FO la négociation sur l’encadrement est l’occasion de rétablir un nouveau contrat de confiance au sein de l’entreprise. Dans cette perspective nous militons pour des propositions concrètes et constructives.
Consulter les propositions de FO Cadres.
Les dispositions du Code du travail relatives au plafonnement des indemnités prud’homales sont conformes aux textes européens et internationaux.
À la suite de la saisine de la Cour de cassation pour avis par les conseils de prud’hommes et de Louviers, cette dernière a statué le 17 juillet 2019 et a déclaré ce barème valide au regard de nos engagements internationaux et européens (avis n°15012 et 15013).
Pourtant, les arguments juridiques ne manquaient pas.
Continuer la lectureComme nous le craignions dans l’une de nos précédentes communications intitulé « EPL : ça se passe chez nous … », le licenciement de « Jean-Luc » n’est malheureusement pas un cas isolé. Dans ce nouveau dossier, que nous nommerons l’affaire « Coding Game Java », la direction a été encore plus loin.
[…] Récemment, Alex a été surpris d’être convoqué à un entretien préalable à licenciement. Malgré les réponses précises et étayées apportées par Alex lors de cet entretien, il a été licencié sans ménagement au motif qu’il n’avait pas fait la session de « Coding Game Java ».
Pour en savoir un peu plus, téléchargez le communiqué de la section FO Astek intitulé » Licenciement : Au suivant ! » (pdf, 2 pages, 323 Ko).
Suite aux résultats des élections professionnelles au sein du groupe Astek, FO a donc désigné ses différents délégués syndicaux en respectant les dispositions de l’accord « Droit Syndical » en vigueur.
La Direction du groupe ASTEK n’a pas tardé à réagir et a décidé d’assigner le syndicat FO en justice pour contester la désignation de ses délégués syndicaux.
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
Problème ou Solution
Au sommaire de ce numéro :
Pour consultez, cliquez sur le lien : FO Cadres n° 174 (pdf, 11 pages, 1,7 Mo)
Après de nombreuses réunions de négociations dont FO a été le principal acteur, un accord Télétravail a finalement été conclu au sein du groupe ASTEK.
Malheureusement, dès la mise en place, diverses dispositions de l’accord ne sont pas respectées par le management (processus, réponse …) ou par la direction des ressources humaines qui refuse d’indemniser les jours de télétravail tels que prévus.
Malgré ces situations inacceptables, FO continue d’oeuvrer pour que l’accord soit respecté intégralement … avec effet rétroactif. Si la Direction ne veut pas entendre raison, FO n’hésitera pas à aller en justice pour que les droits des salariés soient appliqués.