Une mise à pied conservatoire « tardive » peut invalider un licenciement pour faute grave ultérieur

La mise à pied conservatoire qui intervient tardivement après l’engagement de la procédure de licenciement présente un caractère disciplinaire si elle n’est pas justifiée par de nouveaux faits fautifs. Le licenciement pour faute grave prononcé à l’issue de la procédure est alors sans cause réelle et sérieuse.

Cass. soc. 22 mars 2023, n° 21-15648 D

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