Une nouvelle fois, la négociation sur la « Journée de Solidarité » s’est soldée par une mascarade :
- ouverture tardive de la négociation fin juillet alors que les organisations syndicales l’avaient demandé dès le 1er trimestre ;
- deuxième et dernière réunion de négociation en novembre ;
- aucun changement accepté par rapport à la position initiale de la Direction.
FO a pourtant proposé des revendications qui n’ont que peu d’impact pour l’entreprise :
- un accord sur trois ans ;
- Modalité 2 et 3 : Journée de solidarité prise sur le compteur de temps disponible « Employeur » ;
- Non Cadre et Modalité 1 : Journée de solidarité offerte.
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