Un salarié, qui a accompli la journée de solidarité chez son ancien employeur, ne veut pas la réaliser une deuxième fois. Le peut-il ?
Si le salarié a déjà accompli cette journée, le refus ne constitue pas une faute ou un motif de licenciement (art. L. 3133-10 du Code du Travail).
Si le salarié travaille une 2ème journée de solidarité en raison du changement d’employeur, les heures travaillées donnent notamment lieu à rémunération supplémentaire.
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