Propos sexistes à répétition d’un manager : tolérance zéro, c’est une faute grave

La Cour de cassation rappelle qu’un salarié auteur d’agissements sexistes est nécessairement fautif, ce qui justifie son licenciement. Elle ajoute qu’il y a lieu de retenir la qualification de faute grave lorsque le salarié concerné a tenu de manière répétée des propos sexistes insultants et dégradants à l’égard de collaboratrices dont il était le supérieur hiérarchique.

Décision : Cass. soc. 17 septembre 2025, n° 24-14363 D

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